Daniel Lantrac nous donne, sous le joli titre de : L’Imagier du soir et de l’ombre, de courtes pages qui éveillent singulièrement l’intérêt. […] Et, page par page, j’ai échenillé mon livre jusqu’à le réduire à ces minces feuillets — comme on effeuille une marguerite, — afin qu’il répondît “beaucoup” à celui qui l’interrogera d’un œil bienveillant… » Et certes, il n’est pas besoin de bienveillance spéciale pour que ces pages répondent « beaucoup » à celui qui les lit ; M.