Elle file, elle coud et garde, à la maison, Un père vieux, aveugle et privé de raison. […] Une pensée encore la soutient : elle espère Qu’avant elle bientôt s’en ira son vieux père. […] Je ne crois pas qu’il soit possible de l’oublier et que les générations futures, fussent-elles plus saines que nous, puissent se soustraire à l’impression de cette poésie, qui leur apprendra ce qu’un jour aura été l’âme de leurs pères !