Elle n’a plus de mère ; son père, riche marchand et avare, paraît être son père aussi peu que possible. […] Eugène, qui se sent d’ailleurs peu de goût pour la basoche, et qui ne connaît pas son père, nous a dès l’abord tout l’air d’être le fils de quelque grand seigneur qui a oublié de le reconnaître, et qui lui a légué de ses instincts.