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415. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Jean-Jacques Ampère »

Une belle-mère qu’il eut ensuite, mais bientôt séparée de son père, avec lequel elle était incompatible, ne lui fut de rien. […] Son père, une fois le premier deuil fait, s’accommodait très-bien de cette ambition poétique de son fils. […] Son père, premier confident de toutes ses élucubrations poétiques, ne le décourageait pas, et il lui arrivait quelquefois de dire à l’un de ses bons amis lyonnais, M.  […] Ils avaient cela de commun tous deux d’être les fils de pères vénérés. […] Ampère père, une telle alliance lui paraissait tout réunir, et il ne pouvait comprendre les hésitations de son fils.

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