Mais celui qui n’a pas connu le père ne peut pas comprendre le fils. […] « Ceux qui ont connu mon père et ma mère attesteront la fidélité de ces esquisses. […] Il redoutait son père comme un implacable censeur étranger à ses impressions. […] « Mon père avait protégé jadis un homme qu’il avait retrouvé, en 1814, notaire à Paris. […] Si mon père était malade, tu m’avertirais, n’est-ce pas ?