Racine, plus profond dans la connaissance de l’art, s’ouvrit une route nouvelle, et la tragédie fut alors l’histoire des passions et le tableau du coeur humain. […] Racine n’avait pris Andromaque à personne ; et quand il étala sur la scène des peintures si savantes et si expressives de cette inépuisable passion de l’amour, il ouvrit une source nouvelle et abondante pour la tragédie française. […] Il ouvrit la carrière, et posa la limite.