» Après une longue et vaine lamentation sur la vanité de la science pour le bonheur ou même pour la lumière, Faust ouvre négligemment un volume cabalistique ; il tombe par hasard sur le signe qui donne à l’homme la toute-puissance sur la nature et la toute-félicité. […] Faust ouvre l’Évangile, le chien s’agite et grogne. […] Elle ouvre machinalement l’armoire pour serrer ses habits de fête ; la cassette se rencontre sous sa main. Elle s’étonne, elle se demande comment cette cassette a été déposée là, elle l’ouvre en tremblant : les bijoux la frappent et l’éblouissent.