Sa bouche s’ouvre dans le sourire de ceux qui ont béni la douleur ardemment. […] Paul Féval a replié en lui le romancier et il a ouvert l’historien. […] Il a ouvert le ciel comme un pavillon au-dessus de la montagne qui portait à son sommet l’image de l’archange, et il en a fait tomber une lumière céleste pour mieux éclairer les faits prodigieux qu’il allait raconter.