Un ouvrage de longue haleine, médité dans une solitude studieuse et consciencieusement exécuté, partant d’une idée et aboutissant à un enseignement, un tel ouvrage effarouche notre société affairée — et frivole. […] Que cet ouvrage sérieux ait la fortune rare d’être lu jusqu’au bout, il est aussi promptement oublié qu’un article de journal… Et voilà pourquoi les romanciers sont devenus des journalistes.