Virgile ne s’est pas même contenté de ces images répanduës avec un art infini dans tout l’ouvrage. […] Enfin il insere dans cet ouvrage l’avanture tragique d’Orphée et d’Euridice, capable de faire fondre en larmes ceux qui la verroient veritablement. […] On ne lit son ouvrage que de propos deliberé, et il n’est point, comme l’éneide, un de ces livres sur lesquels un attrait insensible fait d’abord porter la main quand on veut lire une heure ou deux.