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989. (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252

La couronne de lauriers se trouve dans presque tous, et le hoquet n’a point été oublié non plus par les historiens du théâtre58. […] Les deux frères de la belle abandonnée l’y joignirent, et du plus loin qu’ils l’aperçurent lui crièrent : « Chevalier de Gramont, n’avez-vous rien oublié à Londres ? […] Il est aussi ridicule qu’injurieux pour la mémoire de deux grands hommes de penser un seul instant que l’un eût osé proposer une aussi licencieuse mascarade, et que l’autre se fût oublié au point de l’autoriser. […] Ce n’est pas dans une telle circonstance et avec de tels détails, qu’il eût fait renaître cette coutume entièrement oubliée. […] Parmi celles que sa bonté et leur gratitude lui avaient rendues les plus fidèles, nous ne devons pas oublier la bonne La Forêt.

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