Il a laissé, presque dès son début, des traces trop vives et trop profondes dans l’opinion contemporaine, pour qu’on pût oublier de réunir les écrits dus à cette plume brillante que la mort a si tôt brisée, et qu’il eût brisée lui-même, s’il avait vécu davantage, tant elle satisfaisait peu son âme sainte ! […] Il a de l’orateur ; il doit avoir lu immensément les sermonnaires ; il a les grands mots oratoires qui une fois dits ne s’oublient plus.