Et comment, en effet, Victor Le Clerc eût-il oublié qu’il avait commencé par être le traducteur juré des élégances cicéroniennes ? […] Car, il ne faut pas l’oublier, la verve satirique tant vantée du fabliau n’a d’audace que contre les faibles et les désarmés. […] Commençait-il plutôt « par une peinture de l’homme, dans laquelle il n’oubliait rien de ce qui peut servir à le faire connaître » ? […] À propos de Pascal, nous l’oublions bien aisément. […] Mais il faut dire aussi que ni Sémiramis ni Salomon ne demeuraient en reste, et on l’oublie quelquefois.