Il écrivait en terminant : « Nous ne devons pas oublier que les femmes sont mères deux fois, par l’enfantement et par l’éducation ; songeons donc à organiser aussi l’éducation des filles, car une partie de nos embarras actuels provient de ce que nous avons laissé cette éducation aux mains de gens…3 enfin, de gens qui n’avaient pas toute la confiance de M. […] D’abord, quand on veut signaler les maux qui se mêlent à une réforme, on a toujours soin d’oublier ou de taire ceux auxquels elle est venue remédier.