/ 2220
557. (1925) La fin de l’art

Je n’ose y penser. […] On lui dit que cela se payait vingt-cinq centimes la ligne, mais il y en avait si peu qu’il n’osa pas les toucher. […] Je voudrais bien désigner plus clairement ces malheureux auteurs, mais je ne l’ose. […] On peut encore le relire, mais qui oserait relire Roqueplan ou Aurélien Scholl ? […] Ceci n’attaque pas les diplômes, mais comment un diplômé ose-t-il se plaindre qu’un non-diplômé fasse mieux que lui ?

/ 2220