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485. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « III. M. Michelet » pp. 47-96

II Ce n’est donc pas, — osons le dire, — un historien que M.  […] Il y a dans les derniers volumes qu’il vient de publier tels détails que nous n’oserions citer ici ni pour le fond ni pour la forme, et pour lesquels le fond et la forme font équation d’ignobilité. […] Pour Richelieu, ce grand malheureux que nul n’oserait plaindre, l’amertume des derniers jours fut aussi grande que celle des premiers. […] En parlant de la concubine de Marat, qu’il ose appeler la veuve Marat, au front souillé de laquelle il ose attacher ce noble voile de veuve, le plus beau qu’après son voile de vierge une femme puisse jamais porter, il écrit sans rire les mots suivants : « On trouva dans les papiers de Marat une promesse de mariage à Catherine Éverard.

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