IV Ainsi, pour moi, j’ose le penser et j’ose le dire, ce fut une amoureuse que Madame Geoffrin, et une amoureuse désheurée, aimant à l’âge où l’on n’aime plus, ce qui ne l’empêcha pas d’être la femme la plus raisonnable de son siècle.
IV Ainsi, pour moi, j’ose le penser et j’ose le dire, ce fut une amoureuse que Madame Geoffrin, et une amoureuse désheurée, aimant à l’âge où l’on n’aime plus, ce qui ne l’empêcha pas d’être la femme la plus raisonnable de son siècle.