26 » Vaincu par l’évidence, M. de Gourmont lui-même finit par écrire ceci : « Fénelon serait plus grand écrivain, s’il avait osé davantage. […] Voilà le ton que prennent ces messieurs, quand ils daignent répondre, non pas même à ceux qui les attaquent personnellement, mais à ceux qui osent discuter certains auteurs du dix-septième siècle.