il ne se donnera pas un combat de gladiateurs sans moi, et je n’oserai me transporter chez un philosophe ! […] Vous qui marchez sur leurs traces, plaignez-vous si vous l’osez. […] Mais si je suis fou, qui est-ce qui osera blâmer ma folie ? […] Le beau jour pour Marcellus exilé, que celui où Brutus ne pouvait le quitter, et César n’osa l’aller voir ! […] Ces gens-là osent tout, parce qu’ils n’ont rien à perdre ni à craindre.