À cette époque, Bouchardy n’eut pas osé rêver de tels succès ; il gravait encore à la manière noire chez Reynolds. […] Dans la préface de sa pièce l’auteur disait en parlant de lui-même : « Il n’ose se flatter que tout le monde ait compris du premier coup ce drame dont le Romancero general est la véritable clef. […] Qui de nous n’a arrangé dix fois une chambre avec l’espoir que Gérard y viendrait passer quelques jours, car nul n’osait se flatter de quelques mois, tant on lui savait le caprice errant et libre !