Avant lui, personne n’avait osé la tenter ; le monde au milieu duquel il nous introduit était une région inconnue pour la littérature russe. […] C’est cette force providentielle et divine qui vient en aide aux bons sentiments des princes assez justes pour vouloir la justice, assez audacieux pour oser la faire, qui a préservé des catastrophes prédites l’immense empire de Russie. […] Au fond de la première pièce se tenait blottie, dans un coin obscur, la femme du starosta : elle salua le maître, mais n’osa point lui baiser la main. […] Je suis organisé de telle sorte que… rien ne m’indigne plus, j’ose le dire, que l’ingratitude… Je n’ai pas besoin de vous le répéter, vous connaissez ma femme ; c’est un ange sous forme humaine ; elle est d’une bonté inexprimable.