Après de si beaux exemples, on pouvait tout oser. […] Qu’on puisse oser beaucoup dans un roman, on le comprend. […] Puis, quand je serai dedans, si tu oses bouger de cette planche ou souffler un mot, je lui couperai la gorge, à elle d’abord ; et si tu l’aimes, tu ne risqueras pas sa vie. […] Je n’ose rester. […] Il faut lire cet épilogue, pour voir quelles paroles et quels détails on osait mettre dans la bouche d’une actrice.