Il mourut fou, comme Nietzsche, qui l’admirait d’avoir osé réduire la matière à une pure conception de l’esprit. […] Mais on n’osait rien dire. […] Je n’osais me renseigner, craignant d’être pris pour un fou. […] Si l’on admire le courage de ceux qui se sont exposés les premiers sur les flots de cet élément, il y a sans doute aussi de quoi s’étonner qu’on ait osé s’engager parmi tous les écueils de ces affreuses montagnes. » Qui oserait aujourd’hui, en parlant des montagnes, les qualifier d’affreuses ? […] Un jour, vers l’année 1760, un jeune héros osa tenir tête à la bête mystérieuse.