Le mandarin s’offre à Jean Mornas sous les traits d’un vieil avare, chez qui il envoie une femme Lucie, hypnotisée et mise en état de suggestion magnétique ; Lucie obéit aux ordres imposés par ce bohème médecin ; elle va accomplir mathématiquement l’ordre imposé, l’idée suggérée. […] Cette sensibilité contenue vite aigrie, qui se change en folles colères devant les aspects d’injustice de l’ordre social. […] Paulette, voudrez-vous donner des ordres à ce sujet ? […] … Mais nous en sommes là… Il faut choisir… Moi, je suis à vos ordres : décidez ! […] Car c’est du passé seulement qu’il s’agit dans ce recueil de pièces, dont quelques-unes sont de premier ordre.