Si l’ordre matériel avait été promptement rétabli, l’ordre moral restait assez profondément troublé. […] car affirmer en lui l’identité du bien et du mal, de l’ordre et du désordre, du juste et de l’injuste, n’est-ce pas affirmer l’absurde ? […] et, dans cet ordre de phénomènes, tout n’est-il pas irrésistible, tout n’est-il pas fatal ? […] On ne fait pas plus de la vertu sérieuse et solide avec la passion et ses délires, qu’on ne fait de l’ordre avec le désordre. […] Et ici va se produire un grief d’un autre ordre.