Et il écrivit : « Ce sont les grâces et mignardises de cet âge verdissant, lesquelles, rehaussées de la vigueur syntaxique du seizième siècle, nous constitueront, par l’ordre et la liaison inéluctable des choses, une langue digne de vêtir les plus nobles chimères de la pensée créatrice. » Tel fut le programme savant et industrieux de l’École romane. […] D’ailleurs, ces contrastes ne le rendaient pas capricieux ; les diversités de son humeur se classaient à merveille : il y avait de l’ordre dans sa tête et dans son cœur. […] Ainsi, la vie humaine n’aurait pas d’autre objet que la recherche de la vérité ; et, cette vérité, l’esprit humain la trouverait dans l’ordre mathématique.