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1909. (1912) Chateaubriand pp. 1-344

Sans doute une vie ordinaire et tout unie peut contenir des sentiments violents, et des drames de l’esprit ou du cœur ; et sans doute, d’autre part, il y avait eu dans notre littérature (au dix-septième siècle même) de beaux aventuriers, et qui avaient vu bien des choses étonnantes, et qui n’en avaient rien tiré du tout. […] Si nous ne savions pas que cela est de Chateaubriand, cela nous paraîtrait assez ordinaire. […] Dès lors il n’avait, semble-t-il, qu’à accepter les conditions ordinaires du jeu académique : courtoisie envers son prédécesseur et hommage au souverain.

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