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598. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « CHRISTEL » pp. 515-533

que ne suis-je assise à l’ombre des forêts ! […] Il avait fini lorsqu’il vit dans l’ombre une main qui s’avançait comme pour chercher la sienne ; il la donna et sentit qu’après une tremblante étreinte, celle de Christel ne se retirait qu’après lui avoir remis celle même de sa mère.

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