Feuillet de Conches le décrit en des termes qui rappelleront à tous l’impression reçue : On est au moment où le soleil à son déclin rase la terre et projette des ombres plus douces. […] Il prétend toutefois n’y pas mettre précisément du sien : il veut arriver au beau, et il le veut non en l’inventant, mais en le retrouvant avec effort, en le déchiffrant pour ainsi direu, sous les altérations et les ombres qui le défigurent et le recouvrent dans la réalité : Pour trouver le beau d’une chose, ne faut-il pas la voir, la retourner sous toutes ses faces ?