La transition de l’habit ecclésiastique à l’habit laïque est comme le changement d’état d’une chrysalide ; il y faut un peu d’ombre. […] Je n’eus jamais, au sujet de mes résolutions décisives du mois d’octobre 1845, une ombre de regret. […] Je serais désolé de traverser une de ces périodes d’affaiblissement où l’homme qui a eu de la force et de la vertu n’est plus que l’ombre et la ruine de lui-même, et souvent, à la grande joie des sots, s’occupe à détruire la vie qu’il avait laborieusement édifiée.