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409. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « L’expression de l’amour chez les poètes symbolistes » pp. 57-90

Reste ainsi : l’ombre violette Se joue aux roses plis des hanches ; Ouvre tes grands yeux puérils Où rit l’orgueil de tes chairs blanches. […] On ne pourra pas lui appliquer l’apostrophe de Louis Le Cardonnel à Louis II de Bavière : Vous fûtes entraîné par le sabbat vainqueur, Poussant votre cheval à travers les bois sombres, Les mânes et la nuit vous ont pris votre cœur, Car ce n’est pas en vain qu’on provoque les ombres. […] L’ombre où ils errent reçoit d’étranges soupirs.

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