Reste ainsi : l’ombre violette Se joue aux roses plis des hanches ; Ouvre tes grands yeux puérils Où rit l’orgueil de tes chairs blanches. […] On ne pourra pas lui appliquer l’apostrophe de Louis Le Cardonnel à Louis II de Bavière : Vous fûtes entraîné par le sabbat vainqueur, Poussant votre cheval à travers les bois sombres, Les mânes et la nuit vous ont pris votre cœur, Car ce n’est pas en vain qu’on provoque les ombres. […] L’ombre où ils errent reçoit d’étranges soupirs.