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285. (1893) Alfred de Musset

Musset était retombé brusquement dans l’ombre. […] On offenserait son ombre en essayant de nier que ses rimes sont faibles et quelquefois pis. […] Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ! […] Son cauchemar s’est dissipé en quittant l’ombre du cloître. […] Comme il a parlé “de cette chaude jeunesse, arbre à la rude écorce, qui couvre tout de son ombre, horizons et chemins” !

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