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247. (1890) La bataille littéraire. Troisième série (1883-1886) pp. 1-343

L’ombre chaude semblait pleine de baisers. […] Une ombre grise emplissait le salon. […] dit-elle sans apercevoir Guillaumanche dans l’ombre. […] L’ombre, le voyant rire, a confiance et rit. […] Des sanglots, Et l’ombre.

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