Toute la partie humorale ou physico-chimique de la physiologie, qui ne se dissèque pas et qui constitue ce que nous appelons notre milieu intérieur, a été négligée et mise dans l’ombre. […] Ceux qui croient trop aux théories et qui négligent les principes prennent l’ombre pour la réalité, ils manquent de critérium solide et ils sont livrés à toutes les causes d’erreurs qui en dérivent.