De la solitaire demeure Une ombre lourde d’heure en heure Se détache sur le gazon : Et cette ombre, couchée et morte, Est la seule chose qui sorte Tout le jour de cette maison ! […] Une fenêtre en deuil, à l’ombre condamnée, Se ferma sous le bord des toits. […] N’as-tu pas dans un pan de tes globes sans nombre Une pente au soleil, une vallée à l’ombre Pour y rebâtir ce doux seuil ? […] » lui criai-je en me rapprochant de lui ; « j’ai repris le cheval : il ne fera ni peur à votre âne, ni mal à vous. » Et je m’arrêtai à l’ombre d’un poirier sauvage, devant le pauvre homme. […] Vous savez que le mur de l’église projette son ombre sur cette partie du jardin, et que l’on communique, par cette porte dérobée, de l’enclos dans le cimetière du village.