L’Iliade, au contraire, composée de scènes, d’exploits particuliers, de combats et de duels entre les principaux héros, offre « un splendide tableau de la guerre de Troie en général », et répond parfaitement à ce titre plus étendu sous lequel le poëme est devenu immortel. […] On devrait bien une bonne fois, pour édifier la moyenne des gens instruits qui, chez nous, sont si en retard sur les grosses questions et à qui il convient d’offrir les idées sans trop de fatigue, nous traduire exactement et au complet les Prolégomènes de Wolf, qui, dans leur latin original et serré, sont d’une lecture assez rude ; ou les environnerait de notes, d’éclaircissements ; on y joindrait l’indication des travaux qui en sont dérivés et qui s’y rattachent.