Octave Feuillet, chercher ce qui s’y est ajouté dans ses oeuvres plus récentes et pour quoi je préfère quand même les plus anciennes, tel est le dessein qui m’est venu en lisant la Morte. […] Octave Feuillet avec ses intentions, ou bien encore un mélange de réalité quelquefois brutale et de convention souvent insupportable : voilà ce qui rend, à partir de Monsieur de Camors, l’œuvre de M. […] En même temps que le besoin de nous étonner à la fois par ses hardiesses et par sa distinction, des préoccupations de moraliste chrétien se trahissent de plus en plus dans l’œuvre de M. […] Malgré tout, j’ai ressenti, en lisant la Morte, quelque chose du ravissement où me jetaient les premières œuvres de M. […] Et enfin, repassant d’un coup d’œil l’œuvre de M.