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473. (1864) Corneille, Shakespeare et Goethe : étude sur l’influence anglo-germanique en France au XIXe siècle pp. -311

Cette traduction était avant tout une œuvre philologique et consciencieuse. […] Mais leur code fut loin de valoir leurs œuvres. […] On prendrait ensuite l’œuvre entière de Byron, et le type en question reparaîtrait. […] Alexandre Dumas vint continuer sur la scène française l’œuvre de Victor Hugo. […] Mais ces œuvres si profondément allemandes furent comprises à la française.

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