Avec Rousseau il reste beaucoup plus à faire, et le dernier mot de ses confidences déjà si longues n’a pas été dit, les dernières pages de ses œuvres n’ont pas été données. […] Mais les œuvres mêmes de Jean-Jacques, la totalité des pièces qui restent en manuscrit et qui sont dignes de l’impression, c’est ce recueil que j’espère toujours, et en voici quelque chose que nous devons à M.