Cherchons à restituer le véritable sens et l’authentique saveur de cette œuvre toujours vivante et toujours méjugée. […] Voilà ce qu’il importait de fixer au début ; car toute son œuvre, toute sa pensée reposent sur cette base. […] On sent à travers toute l’œuvre de Zola qu’il a moins vécu lui-même que conçu la volonté de décrire la vie. […] C’est du moins l’impression sincère qui nous vient de son œuvre, l’impression de la vie imparfaitement vécue. […] Nous sommes donc en droit de rechercher par-delà son œuvre, l’idée maîtresse dont elle dépend.