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970. (1855) Louis David, son école et son temps. Souvenirs pp. -447

Son nez était légèrement aquilin et ses yeux grands fiaient couverts de paupières très-larges. […] … Vous pleurez, mes enfants, vous détournez les yeux ! […] Nos yeux le cherchent encore parmi vous, représentants. […] Partout la trahison, à l’œil louche et perfide, la mort et la dévastation le suivent. […] Une tête bien italienne ; l’enchâssement de l’œil grand, bien prononcé !

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