ou bien, par hasard, vous êtes belle : tant mieux pour nos yeux, car nous ne verrons plus qu’avec nos yeux. […] Annette me dit : “Je n’y vois plus guère, un nuage est sur mes yeux.” […] Avec quels soins ils cultivaient le petit enclos de cette habitation, éclairée par ses beaux yeux ! […] Je lui fermai les yeux. […] Il brillait à nos yeux comme une flamme ; il était un phare poétique, il flamboyait comme une espérance !