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562. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre V. La Renaissance chrétienne. » pp. 282-410

Ce n’est pas ici, comme chez les maîtres italiens, un spectacle à récréer les yeux, un simple ondoiement d’étoffes, une ordonnance des groupes. […] Un évêque, les mains jointes, prie étendu pendant qu’on lui tourne dans l’œil une tarière. […] Le premier mouvement l’emportait les yeux fermés, lancé comme sur une pente roide dans les déterminations folles. […] Son front se plisse, ses yeux deviennent mornes, et sa femme, la nuit, l’entend gémir. […] Là aussi ils avaient devant les yeux la cité elle-même, et pensaient que toutes les cloches se fussent mises à sonner pour leur donner la bienvenue.

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