Auguste Desplaces L’auteur de la Cape et l’Épée est un de ces charmants esprits qui ont pour lyre une mandoline et dont la voix n’a jamais plus de fraîcheur que les soirs de printemps, sous les balcons, lorsque des yeux très éveillés luisent à travers la persienne. […] Cette muse est une Madeleine après son péché et avant sa pénitence, mais elle a déjà les yeux sur le crucifix.