Quels yeux d’un bleu férocement enfantin ! […] Et sur le papier promenant tes yeux. […] Ton rayon suffit à mes yeux. […] L’inspiration aux yeux d’un poète peut surtout valoir par l’inspiratrice. […] Non, prêtez-moi l’oreille, ouvrez les yeux.
Quels yeux d’un bleu férocement enfantin ! […] Et sur le papier promenant tes yeux. […] Ton rayon suffit à mes yeux. […] L’inspiration aux yeux d’un poète peut surtout valoir par l’inspiratrice. […] Non, prêtez-moi l’oreille, ouvrez les yeux.