Écrit sur le peuple et pour le peuple, ce roman ne saurait passer inaperçu aux yeux d’une Critique qui aime à trouver la moralité et le bonheur du peuple dans toutes les préoccupations du Pouvoir. […] Balzac en avait été profondément frappé, lui que si peu de chose pouvait atteindre du fond des merveilleux édifices qu’il bâtissait, les yeux sur l’avenir.