Ce jeune homme avait les yeux sans cesse attachés sur Delphine ; il lui parlait bas ; elle détournait négligemment son beau visage pour lui répondre, ou pour lui sourire par-dessus le dossier de sa chaise. […] Mes yeux entrevoyaient la gloire sans effroi ; D’un orgueil inconnu je me sentais saisie. […] Son génie était un de ces génies qu’il faut lire sur la physionomie, dans les yeux et dans le son de voix de l’auteur. […] La république à ses yeux, c’était la poésie des événements. […] Rien ne pouvait être plus beau à ses yeux qu’un gouvernement de Périclès en France, gouvernement tenté sans crime après la chute spontanée d’un trône qui n’avait ni tradition ni principe.