Pourquoi coulez-vous de mes yeux, gouttes avares et tardives ? […] Rien que voir le bien d’autrui lui fait cligner de l’œil. […] Il ferma les yeux, comme s’il eût voulu dormir. […] Ses yeux semblaient courir sur le sol. […] La brise embaumée du soir lui caressait les yeux et les joues.