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1110. (1911) Études pp. 9-261

Tout de suite il aperçoit ce qu’il va faire et comment il le fera : l’œuvre est devant ses yeux, présente et parfaite. […] La nature, sous le pouvoir de ses yeux, prend de l’ordre. […] Mais si les nœuds des muscles sont dissimulés, c’est pour que rien ne détourne les yeux d’accompagner le mouvement. […] Tant il change, et sous nos yeux, ne se moquerait-il pas de nous ? […] Le style de Gide ne recrée pas les choses, il ne les restitue pas à nos yeux.

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