On a eu l’idée, dans un moment où il venait des idées de bien des sortes et qui toutes n’étaient pas aussi louables, d’établir dans les divers quartiers de Paris des lectures du soir publiques, à l’usage des classes laborieuses, de ceux qui, occupés tout le jour, n’ont qu’une heure ou deux dont ils puissent disposer après leur travail. […] Il y a très peu d’ouvriers imprimeurs, soit parce qu’ils sont occupés le soir, soit que la profession les ait déjà rassasiés de lecture tout le jour.